Quels fruits pour ce Jubilé 2025 !
« Pierre tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise »
Mat 16, 18
Rome et Assise
Quelques verbatim des pèlerins
« On marche sur le chemin où autrefois les chrétiens étaient tués, chacun doit se poser la question sur le but de son pèlerinage. » s’entendre dire cela pose rapidement l’objectif de notre pèlerinage jubilaire 2025 à Rome et Assise.
Il existe un gros contraste entre les deux villes, Rome et Assise, mais elles sont tellement complémentaires. On s’appuie sur la foi apostolique à Rome, et on goûte la sagesse des humbles à Assise !
Très heureux d’avoir découvert les colonnes de l’Eglise : Pierre et Paul, mais aussi beaucoup d’autres saints de ‘la Ville’ : saint Sébastien, saint Calixte, saint Tarcisius,…
L’expérience de Rome, c’était tellement fort de goûter ce qu’est réellement l’église catholique (universelle), et d’autant plus fort que nous le vivions en diocèse, autour de notre évêque lui aussi successeur des apôtres. « joie de l’avoir fait, ce pèlerinage (jubilaire) »!
« Ce pèlerinage fut un moment dans le temps (du 19 au 27 octobre), mais aussi hors du temps, un moment dans le monde (et Dieu sait si il y en avait du monde partout à Rome !), et en même temps hors du monde ! «
Loin des contingences matérielles mais pourtant toujours dans les réalités de la vie communautaire chacun a pu goûter des expériences spirituelles particulières :
- Mon armure est tombé à Rome. Depuis Assise, je me sens comme une plume ; je me laisse porter…
- Quand le pape Léon m’a béni je me suis senti légère, et j’ai vu toutes les personnes que je portais dans la prière !
- J’ai aimé ce pèlerinage parce que j’ai rencontré des saints et j’ai découvert leur vie et ça m’a donné envie de devenir sainte !
- J’étais très joyeuse contente ; des grâces infinies ; je suis heureuse !
- Ou encore, cette personne qui s’entend dire dans sa prière face au crucifix de saint Damien à Assise : « je t’aime » ; et qui en est toute bouleversée…
…Et on pourrait continuer longtemps les fruits de ce pèlerinage !
Il ne faut pas oublier toutes les épreuves et les difficultés et les frustrations surmontées courageusement par chacun pour que la vie du groupe se passe au mieux, et qui avouent : » le pèlerinage rend humble » reconnait un pèlerin. En effet il faut supporter quelques frustrations pour finalement se laisser attendrir par les grâces divines. Et elles ont été nombreuses. Sans doute que la prière régulière des Laudes des Vêpres, les temps de silence personnel, ont aussi contribué notablement à faire de nous « non des touristes qui exigent, mais des pèlerins qui remercient« !
Deo gratias !
les 60 pèlerins de Cergy reconnaissants !
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